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1.
Research and Practice in Thrombosis and Haemostasis Conference ; 6(Supplement 1), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2128139

ABSTRACT

Background: Acquired hemophilia A (AHA) is a rare bleeding condition defined by the development of autoantibodies directed against clotting factor VIII (FVIII). It occurs primarily in elderly patients. AHA is associated with comorbidities such as cancer, autoimmune disease and infections. There is growing literature on AHA during or following SARS-CoV- 2 infection or vaccination. Six previous cases of AHA post Covid-19 vaccination have been described;all patients were older than 65 years old (yo). Aim(s): We report on a 45 yo woman presenting with AHA after COVID-19 vaccination. She had no personal or family history of bleeding disorders. Eighteen days after her 2nd dose of Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccine, she presented with recurring hematomas. Bleeding events were both spontaneous and provoked by minor traumas but with a disproportionate size. The aim of this report is to bring to light the association between AHA and COVID-19 vaccine in a younger patient with no ongoing or recent pregnancy. Method(s): Case report Results: Biological explorations showed a prolonged activated partial thromboplastin time (aPTT) at 75 seconds (ratio 2.42). FVIII was undetectable and von Willebrand factor explorations were normal. Anti-FVIII antibodies were positive at 373 Bethesda units (BU/ml) confirming the diagnosis of AHA. There was no evidence of pregnancy, cancer, auto-immune disorder or infectious disease. Immunosuppression was initiated with prednisone (1mg/kg), then intensified with rituximab. Bleeding was controlled with repeated infusions of activated prothrombin complex concentrate (aPCC, Feiba) at a dose of 60 IU/kg/injection. A 3rd dose of Covid-19 mRNA vaccine was contraindicated. Conclusion(s): To our knowledge this is the first case of AHA post Covid-19 vaccination in a patient under 50 yo. The exact mechanisms responsible for autoimmune disorders following vaccination are still unclear. However this report might suggest that AHA diagnosis in this context may not be a simple statistical coincidence. Physicians should remain wary of this possible complication. (Figure Presented).

2.
Infect Dis Now ; 51(4): 387-390, 2021 Jun.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1056679

ABSTRACT

PURPOSE OF THE RESEARCH: We describe two interventions to screen for SARS-CoV-2 in two squats of exiled persons in France following the diagnosis of symptomatic COVID-19 cases. PRINCIPAL RESULTS: In squat A, 50 (25%) persons were screened; 19 were found positive, and three accepted a transfer. In squat B, 65 (54%) persons were screened at three different times, and only two were found positive. MAJOR CONCLUSIONS: Discrepant outcomes may reflect different levels of sanitation, prevention, and acceptance of interventions. Refusal to be transferred to specific COVID-19 homes if tested positive underscores the importance of local sanitary solutions for all. Cross-curricular strategies addressed to exiled persons are essential means of providing medical and public health solutions designed to deter COVID-19 outbreaks in these populations.


Subject(s)
COVID-19/diagnosis , Mass Screening , Transients and Migrants , Adolescent , Adult , France , Humans , Middle Aged , Retrospective Studies , Young Adult
3.
Non-conventional in French | WHO COVID | ID: covidwho-726768

ABSTRACT

Introduction Les personnes vivant dans des squats représentent une population vulnérable et difficilement accessible aux mesures de prévention. Le confinement y est particulièrement difficile. Nous rapportons l’expérience et l’efficacité d’un dépistage du SARS-CoV-2 dans deux squats. Matériels et méthodes L’association médecins du monde réalisait des maraudes auprès des personnes vivant dans des squats, en accord avec les référents associatifs des lieux. Quatre cas de COVID-19 furent ainsi diagnostiqués dans un squat A, et deux cas dans un squat B fin mars 2020, habités majoritairement par des migrants. À l’initiative de médecins du monde, un groupe de travail a organisé un dépistage massif des squats, dans l’objectif de limiter la dissémination virale, en proposant notamment l’isolement de cas COVID-19 dans un hébergement et de renforcer les mesures barrières. Ce groupe était constitué de référents du squat, de médecins du monde, de l’équipe mobile de dépistage du CHU, de l’Agence régionale de santé et pour le squat B, de la Mairie. Préalablement aux actions de dépistage, des médecins informaient les squatteurs des objectifs du dépistage, de la nécessité de respecter les mesures barrières, et évaluaient les besoins pour améliorer les conditions sanitaires. Résultats La population du squat A était évaluée à 200 personnes. Il n’existait aucune douche et trois toilettes fonctionnelles, avec des points d’eau extérieurs. Cinquante (25 %) personnes ont donné leur accord pour un dépistage organisé le 20 avril. L’âge moyen des personnes dépistées était de 31 (±16) ans, 26 étaient francophones (52 %) et vivaient à 1,8 (±0,7) personnes par chambre. Dix-neuf personnes (38 %) ont été testées positives, et trois personnes ont accepté d’être transférées dans un centre d’hébergement COVID-19. Il n’a pas été possible de revenir sur site, par opposition de certains squatteurs. Cependant, le 5 juin, une action inter-associative a permis l’installation de 6 toilettes et 6 douches. Le squat B était composé de 120 personnes, et avait quatre toilettes et trois douches fonctionnelles. Après trois passages sur 14jours, 74 (62 %) personnes furent dépistées, et deux cas supplémentaires furent diagnostiqués. L’âge moyen des personnes dépistées était de 30 (±13) ans, 82 % (51/62) étaient francophones avec 2,2 (±1,4) personnes par chambre. L’intervention était concomitante au don de deux toilettes chimiques, et à la distribution de 200 masques en tissu. Dans ces deux squats, aucun cas n’a nécessité une hospitalisation. Conclusion La prévalence élevée de circulation du SARS-CoV-2 dans les squats impose un dépistage rapide et massif dès le diagnostic d’un cas avéré, puisque tout retard pourrait engendrer une forte dissémination du virus, comme pour le squat A. L’acceptabilité du dépistage, et la possibilité d’intervenir de façon répétée, pourraient dépendre de l’amélioration rapide des conditions sanitaires, comme pour le squat B. Une coordination locale médico-sociale et politique pour ce type d’action est indispensable.

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